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Limitation des armes

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La limitation des armes est une des lois de la Foi bahá'íe, fondée en 1863 par Bahá'u'lláh (1817-1892).

Sommaire

  • 1 Interdiction du port d’armes
  • 2 Abrogation de la "guerre sainte"
  • 3 Etablissement de la paix mondiale
  • 4 Bibliographie
  • 5 Notes

Interdiction du port d’armes

Dans le Kitáb-i-Aqdas, Bahá'u'lláh interdit à ses disciples de porter des armes, sauf en cas de nécessité, confirmant ainsi une injonction déjà faite par le Báb (1819-1850) dans son Bayán[1].

Quant aux circonstances dans lesquelles le port d’armes pourrait s’avérer "indispensable" pour un individu, le "Centre de l’Alliance" `Abdu'l-Bahá (1844-1921) l’autorise au croyant en situation dangereuse, pour sa protection. Le Gardien Shoghi Effendi Rabbání (1897-1957), dans une lettre écrite de sa part, a indiqué également qu’en cas d’urgence, quand il n’y a pas de force légale proche à laquelle on peut faire appel, il est légitime pour un baha’i de défendre sa vie[2].

Il existe un certain nombre d’autres situations, où les rames sont nécessaires et peuvent être utilisées légitimement ; par exemple, dans les pays où l’on chasse pour se nourrir et se vêtir, ainsi que dans les sport comme le tir à l’arc, le tir d’adresse et l’escrime[3].

En ce qui concerne la conscription et le service militaire, Shoghi Effendi a indiqué qu'un baha'i doit faire la demande du statut d'objecteur de conscience et que, si cela n'est pas possible, il demande à servir dans une unité "non-combattante". Si cela est impossible, ou en cas de conversion d'un militaire, chaque croyant doit clairement indiquer son appartenance à la Foi baha'ie et accomplir jusqu'au bout et avec honneur son devoir dans les forces armées de son pays[4].

Abrogation de la "guerre sainte"

Dans les religions du passé, la "Guerre Sainte" (jihad bis sayf fi sabili Allahi = la lutte armée dans la voie de Dieu) était perçue comme juste et nécessaire, voire obligatoire pour le croyant, et la clef ouvrant les portes du Paradis[5] : "Certes, Allah a acheté des croyants, leurs personnes et leurs biens en échange du Paradis. Ils combattent dans le sentier d'Allah : ils tuent, et ils se font tuer. C'est une promesse authentique qu'Il a prise sur Lui-même dans la Thora, l'évangile et le Coran. Et qui est plus fidèle qu'Allah à son engagement ? Réjouissez-vous donc de l'échange que vous avez fait : Et c'est là le très grand succès."

إِنَّ اللّهَ اشْتَرَى مِنَ الْمُؤْمِنِينَ أَنفُسَهُمْ وَأَمْوَالَهُم بِأَنَّ لَهُمُ الجَنَّةَ يُقَاتِلُونَ فِي سَبِيلِ اللّهِ فَيَقْتُلُونَ وَيُقْتَلُونَ وَعْداً عَلَيْهِ حَقّاً فِي التَّوْرَاةِ وَالإِنجِيلِ وَالْقُرْآنِ وَمَنْ أَوْفَى بِعَهْدِهِ مِنَ اللّهِ فَاسْتَبْشِرُواْ بِبَيْعِكُمُ الَّذِي بَايَعْتُم بِهِ وَذَلِكَ هُوَ الْفَوْزُ الْعَظِيمُ

Cette pratique n’avait pas été interdite par le Báb, ce qui explique le soulèvement des babis au Mázindarán et la bataille du fort de Shaykh Ṭabarsí, ainsi que les révoltes de Zanján et de Nayríz[6]

Mais cette notion est abrogée par Bahá'u'lláh dans sa tablette intitulée Bishárát (Bonnes Nouvelles), car : "La première bonne nouvelle que le Livre Mère a, dans sa très grande révélation, annoncée à tous les peuples du monde est que la loi sur la guerre sainte a été effacée du Livre"[7].

Il affirme catégoriquement qu’en notre époque, il n’est plus désormais possible ni permis d'annoncer , de défendre ni d'imposer la Parole de Dieu par la force et les armes !

"Sache que Nous avons entièrement annulé la loi de l'épée comme moyen de venir en aide à Notre cause, et que Nous lui avons substitué le pouvoir né de la parole des hommes. Ainsi en avons-Nous irrévocablement décrété par le pouvoir de Notre grâce. Dis : ô peuple ! Ne semez point parmi les hommes les germes de la discorde et abstenez-vous de toute querelle avec votre voisin, car le Seigneur a commis aux soins des rois de la terre le monde et ses cités, et Il a fait d'eux par la vertu de la souveraineté qu'il Lui a plu de leur conférer, des emblèmes de Sa propre puissance. Il ne s'est réservé aucune part de cette domination du monde"[8].

"Qui désire servir la cause du seul vrai Dieu, doit la soutenir de sa plume et de sa parole, sans recourir à l'épée ni à aucune sorte de violence. Nous avons déjà révélé cette injonction et Nous la confirmons aujourd'hui, si vous êtes de ceux qui comprennent"[9].

Selon Bahá'u'lláh, ses disciples ne devraient même pas se défendre par les armes contre les persécutions religieuses, car il affirme que "mieux vaut pour eux être tués que de tuer". Ce qui fait triompher la cause de Dieu, ce ne sont pas les armes, mais la fermeté et la conviction des fidèles intrépides qui se lèvent avec courage, détachés des choses de ce monde, et se vouent à servir pour l'amour de leur Seigneur et par Son pouvoir. Ces âmes bénies, au prix de leur sang, rendent témoignage à la Vérité de la cause et l'attestent par la sincérité de leur foi, leur dévotion et leur constance. Dieu a tout pouvoir de répandre sa cause à son gré et de vaincre les réfractaires.

"Dans le Mázindarán, on a exterminé un grand nombre de serviteurs de Dieu. Sous la pression des calomniateurs, le gouverneur s'appropria une grande part de leurs biens. Il les accusa notamment d'avoir amassé des armes, alors que l'enquête démontra qu'ils n'avaient rien d'autre qu'un fusil non chargé ! Juste ciel ! Ce peuple n'a que faire d'armes de destruction, puisqu'il s'est mobilisé pour reconstruire le monde. Ses armées sont les nobles actions, ses armes, les bonnes mœurs et son étendard, la crainte de Dieu. Heureux celui qui juge avec équité. Par Dieu ! La patience, le calme, la résignation et le contentement de ces hommes étaient si grands qu'ils devinrent les manifestations de la justice. Telle fut leur résistance qu'ils acceptèrent d'être tués plutôt que de tuer. Pourtant, ces opprimés de la terre ont enduré des tribulations telles que l'histoire du monde n'en a jamais connues et l'œil des nations jamais vues. Comment ont-ils pu se résigner à ces cruelles épreuves et refuser de tendre la main pour s'en préserver ? Quelle est la cause de tant d'abnégation et de sérénité ? La vraie raison doit se chercher aussi bien dans l'interdit imposé jour et nuit par la Plume de gloire que dans notre possession des rênes du pouvoir octroyées par la force et la puissance du Seigneur de toute l'humanité."[10]

Etablissement de la paix mondiale

Dans les prophéties bibliques du livre d'Esaïe, on peut lire que la paix s'établira un jour sur terre grâce à la Parole de Dieu[11]. `Abdu'l-Bahá explique que ces prophéties doivent être comprises d'une manière métaphorique, et non pas littérale, et que la venue de Bahá'u'lláh ouvre cette ère de paix messianique[12]

Lorsque Bahá'u'lláh exilé à Andrinople fit sa proclamation aux rois et aux dirigeants de la terre, il les exhorta à se tourner vers Dieu et Son messager pour instaurer sur terre la "Plus Grande Paix" annoncée dans la Bible. Shoghi Effendi donne une description de ce que signifie la "Plus Grande Paix" dans ses lettres aux croyants occidentaux , appelées lettres de l'Ordre Mondial, et notamment dans celle traduite sous le titre "Vers l'apogée de la race humaine"[13]. Voici le résumé qu'en donne M. Louis Hénuzet[14] :

"La plus grande Paix envisagée par Bahá'u'lláh suppose un système mondial comprenant un parlement, un exécutif et un tribunal. Ces institutions, inspirées par la reconnaissance de la révélation nouvelle, auront pour objet d'assurer la liberté individuelle. Elles mettront en place des systèmes mondiaux d'intercommunication, de langage, d'écriture, de poids, de mesures et de devises. Elles seront installées dans une métropole mondiale. Elles s'appuieront sur la science et la religion qui seront en harmonie. Elles réorganiseront l'économie, coordonneront les marchés, réguleront la distribution, étendront les inventions, la technologie et la recherche scientifique, maîtriseront les maladies, ce qui augmentera les standards de la santé et raffineront l'intelligence de l'homme. Cette description se conclut par les mots suivants : "Un système de fédération universelle qui régira la terre entière et exercera sur ses ressources, d'une inestimable ampleur, une autorité à l'abri de toute discussion, qui incarnera tout ensemble l'idéal de l'Orient et celui de l'Occident, qui sera affranchi de la malédiction de la guerre et de ses misères, et qui tendra à l'exploitation de toutes les sources d'énergie disponibles à la surface de la planète ; un système dans lequel la force sera mise au service du droit et dont la vie sera soutenue par la reconnaissance universelle de Dieu et l'obéissance à une seule révélation, tel est le but vers lequel les forces unifiantes de la vie poussent l'humanité !"

Mais devant leur refus d'instaurer la "plus grande paix", la "Paix Suprême", Bahá'u'lláh leur demanda alors de se concerter pour instaurer au moins la "moindre paix" et de cesser la course aux armements pour le bien de leurs peuples. Il écrivit ainsi à la Reine Victoria, qui avait le moins mal reçu son message :

"Puisque vous avez refusé la paix suprême, attachez-vous du moins à maintenir une paix imparfaite qui vous permettra peut-être d'améliorer quelque peu votre propre condition et celle de vos sujets. Ô Souverains de la terre, réconciliez-vous, afin de n'avoir à vous armer que dans la mesure nécessaire à la défense de vos territoires et de vos empires... Soyez unis, ô Rois de la terre, car ainsi la tempête de la discorde s'apaisera parmi vous, et vos peuples trouveront le repos, si vous êtes de ceux qui comprennent"[15]

L'établissement de cette "moindre paix" est la sixième "bonne nouvelle" annoncée par Bahá'u'lláh dans sa tablette Bishárát. Shoghi Effendi a clairement indiqué que la recherche de cette moindre paix incombait aux pouvoirs politiques; elle se réalisera par la création d'instances législatives, juridiques et exécutives supra-nationales, dont la SDN et l'ONU sont des ébauches.

"Le Grand Être, désireux de révéler les conditions nécessaires à la paix et à la tranquillité du monde ainsi qu'au progrès de ses peuples, a écrit : Le temps doit venir où la nécessité impérieuse d'une vaste assemblée qui embrasse tous les hommes sera universellement reconnue. Les rois et les dirigeants de la terre devront impérativement y assister et, en prenant part à ses délibérations, ils devront considérer les voies et les moyens de poser les fondements de la grande paix du monde parmi les hommes. Une telle paix nécessitera de la part des grandes puissances la résolution de se réconcilier complètement, au nom de la tranquillité des peuples de la terre. Et si un roi prend les armes contre un autre, tous conjointement devraient se lever et l'en empêcher. Si cela se faisait, les nations du monde n'auraient plus besoin d'autres armements que ceux qui sont nécessaires pour préserver la sécurité de leurs royaumes et maintenir l'ordre intérieur sur leurs territoires. Ceci assurera la paix et la quiétude de tout peuple, gouvernement et nation. Nous caressons l'espoir que les rois et les dirigeants de la terre, miroirs du gracieux et tout-puissant nom de Dieu, parviennent à ce rang et protègent l'humanité des assauts de la tyrannie"[16].

Après l’établissement de cette moindre paix politique, la paix suprême s’intallera progressivement au travers d'épreuves qui amèneront un profond changement spirituel de l’humanité, dont la communauté baha’ie doit être l’exemple vivant. L’établissement de cette société planétaire, unifiée sur tous les plans, pacifique et scientifique, marquera l’entrée d’une humanité devenue mature dans le "cycle de la splendeur" (Bahá' ), qui est l’accomplissement des promesses du "cycle prophétique" achevé avec le prophète Muḥammad ( le "Sceau des prophètes", Khatam-an-Nabíyín)[17] et ayant commencé il y a environ 12000 ans avec Adam[18], qui pour les baha’is n’est pas le premier homme, mais le premier prophète du précédent cycle de l’humanité[19]. D’après `Abdu'l-Bahá, ce nouveau cycle inauguré par Bahá'u'lláh à la suite du point-charnière représenté par le Báb, est destiné à durer au moins 500 000 ans[20] au cours desquels de nouvelles "Manifestations de Dieu"[21] viendront guider l’humanité à chaque étape de son développement.

Les institutions baha'ies ont déjà fait plusieurs contributions significatives en vue de sensibiliser les dirigeants politiques et religieux à cette transformation inéluctable. En 1977, la Maison Universelle de Justice a publié une série d'extraits des Lettres de Shoghi Effendi dans une brochure intitulée "Appel aux Nations". En 1985, elle adressa un message aux peuples du monde "La promesse de la paix mondiale" et en 2002, elle lança un appel à tous les dirigeants religieux pour la réconciliation des religions par l'abandon des préjugés religieux. En 1995, l'Office de relations publiques du Centre mondial a publié "Vers une humanité prospère", résumant les données fondamentales pour une justice économique dans le monde et la même année la Communauté internationale baha'ie publia à l'occasion du 50e anniversaire de la création des Nations Unies un livret intitulé "Tournant pour les nations", où elle indique les réformes nécessaires au sein de cet organisme.

Bibliographie

  • Kitáb-i-Aqdas ("Le Livre le Plus Saint"), écrit par Bahá'u'lláh (en arabe vers 1873), édité par la Maison d'éditions baha'ies (Bruxelles 1996), ISBN 2872030387
  • "Les Tablettes de Bahá'u'lláh" (révélées après le Kitáb-i-Aqdas), écrite en arabe par Bahá'u'lláh, édité par la Maison d'éditions baha'ies (Bruxelles 1994), ISBN 2872030328
  • "Florilège d’écrits de Bahá'u'lláh", Maison d’éditions baha’ies (Bruxelles, 2006), ISBN 2872030735
  • "Epître au fils du Loup" Lawḥ-i-Ibn-i-Dhib de Bahá'u'lláh (1890), Maison d’éditions baha’ies (Bruxelles, 2001), ISBN 2872030557
  • les "Leçons de Saint-Jean-d’Acre", entretiens de pélerins avec ‘Abdu’l-Bahá, recueillis par Laura Clifford Barney et traduits du persan par Hippolyte Dreyfus, édité par les Presses Universitaires de France (P.U.F. Paris, 5° édition corrigée, 1982), ISBN 213037588x
  • "La Chronique de Nabíl" (Dawn-Breakers), écrit en persan à la fin du XIXème siècle par Muḥammad-i-Zarandí Nabíl-i-A’ẓam, traduit du persan en anglais par Shoghi Effendi, traduit de l'anglais en français par M.E.B. et édité par la Maison d'éditions baha'ies (Bruxelles 1986), D/1547/1986/6
  • Compilation des écrits baha'is sur "la Paix" par le département de la recherche de la Maison Universelle de Justice, éditée par la Maison d'éditions baha'ies (Bruxelles, 1986), D/1986/1547/3

Notes

  1. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 159
  2. ↑ Kitáb-i-Aqdas, note 173
  3. ↑ Kitáb-i-Aqdas, note 173
  4. ↑ "Baha'is and Military Service, ASN des baha'is de USA, U.S. Supplement to Baha'i News, No. 88, June 1965, p. 1
  5. ↑ Qur'án sourate 9, verset 111
  6. ↑ "Chronique de Nabil", chapitres 19, 20, 22 et 24
  7. ↑ Bishárát, dans les "Tablettes de Bahá'u'lláh" révélées après le Kitáb-i-Aqdas, p.21
  8. ↑ Lettre adressée à Nabíl-i-A’ẓam, dans "Florilège d’écrits de Bahá'u'lláh", verset 139.5, p.214
  9. ↑ extrait de Lawḥ-i-Salmán, dans "Florilège d’écrits de Bahá'u'lláh", verset 154.1, p.233
  10. ↑ "Epître au Fils du Loup", de Bahá'u'lláh, verset 121, pp.85-86
  11. ↑ Bible, Livre d'Esaïe 2/1-4, 9/5-6 et 11/1-12
  12. ↑ "Leçons de Saint-Jean-d'Acre", chapitre 12, pp.69-72
  13. ↑ "Vers l'apogée de la race humaine" de Shoghi Effendi, Maison d'éditions baha'ies (Bruxelles, 1969), page 58
  14. ↑ "Unité du genre humain", par Louis Hénuzet
  15. ↑ "Florilège d'écrits de Bahá'u'lláh", Lawḥ-i-Malikih, versets 119.3-5, p.179
  16. ↑ Extrait de Lawḥ-i-Maqṣúd, dans les "Tablettes de Bahá'u'lláh" révélées après le Kitáb-i-Aqdas, pp.173-174
  17. ↑ "Florilège d'écrits de Bahá'u'lláh", verset 25.1, p.40
  18. ↑ Bayán persan, Váḥid 3, Báb 13
  19. ↑ "Florilège d'écrits de Bahá'u'lláh", chapitre 87, pp.121-123
  20. ↑ citation dans "Ordre mondial de Bahá'u'lláh", par Shoghi Effendi, chapitre 6.1
  21. ↑ Extrait du Dalál'il-i-Sab'ih (les "Sept preuves"), dans "Sélection des écrits du Báb", versets 107.61-65, p.115
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La dernière modification de cette page a été faite le 30 novembre 2012 à 00:28.
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