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Prière

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La Prière est une loi fondamentale de la Foi bahá’íe fondée par Bahá'u'lláh (1817-1892). Elle est comme une "échelle" permettant à l’homme de s’approcher des mondes divins et de converser avec Dieu, comme un polissoir purifiant le "miroir" de son cœur afin qu’y brille la lumière divine, comme une eau redonnant la vie à la "terre" aride du cœur de l’homme… [1]

La prière, dit 'Abdu'l-Bahá, "est une conversation avec Dieu". Afin d'informer les hommes de son dessein et de sa volonté, il faut que Dieu leur parle un langage approprié et Il le fait par la bouche de ses saints prophètes. Aussi longtemps que ces prophètes vivent dans leur corps physique, ils s'adressent directement aux hommes, leur transmettant verbalement le message de Dieu. Lorsqu'ils disparaissent, le message continue d'influencer les esprits humains grâce aux paroles et aux Écrits qu'ils ont laissés. Mais ceci n'est pas le seul moyen par lequel Dieu parle aux hommes. Il existe encore un "langage de l'esprit", indépendant de la parole ou de l'écriture, par lequel Dieu peut communiquer avec ceux dont le coeur est en quête de vérité et les inspirer où qu'ils soient et quelles que soient leur race et leur langue maternelle. C'est par ce langage de l'esprit que, même après son départ du monde matériel, la manifestation divine continue à entretenir des rapports avec le croyant. Le Christ continua à converser avec ses disciples et à les inspirer après sa crucifixion. En fait, il les influença bien plus puissamment qu'auparavant; il en fut de même pour les autres prophètes.[2]

La "courte" prière "obligatoire" en arabe

Dans la Foi baha’ie, il faut cependant faire une distinction entre les prières rituelles et les autres.

Sommaire

  • 1 Prières Obligatoires (Ṣalát)
  • 2 Prière des morts
  • 3 Autres prières
  • 4 Le travail est aussi un prière
  • 5 Bibliographie
  • 6 Notes

Prières Obligatoires (Ṣalát)

La prière obligatoire rituelle (Ṣalát) est un devoir religieux prescrit par Bahá'u'lláh dans le Kitáb-i-Aqdas[3] à partir aux baha'is à partir de l'âge de 15 ans, début de "l'âge de la maturité"[4]. C'est la plus importante forme de prière dont le but est de développer l'humilité et la dévotion et d'infuser la voie et la vitalité dans le coeur : elle est "obligatoire" à la vie de l'âme, comme l'air et l'eau sont "obligatoires" à la vie du corps. Négligez cette obligation et celle du jeûne entrave le développement spirituel, car elles sont comme des ailes pour s'élever vers Dieu selon Bahá'u'lláh.

Ces prières "obligatoires" doivent être récitées individuellement et en privé[5], à des moments bien définis[6], sur un sol propre[7] et dans une tenue propre[8], après des ablutions rituelles[9], et en se tournant vers la Qiblih baha'ie[10], qui est le manoir de Bahjí près de Saint-Jean-d'Acre (Israël) où repose Bahá'u'lláh.

Les ablutions rituelles consistent à se laver les mains et le visage[11] avec une eau "propre", c'est à dire inodore, incolore et insipide[12]. Comme il s'agit d'un rite, il faut l'accomplir même si l'on vient de se laver entièrement[13]. S'il n'y a pas d'eau, ou si elle peut être préjudiciable à la santé, elles peuvent être remplacées par la recitation 5 fois de la formule "Au nom de Dieu, le plus Pur, le plus Pur"[14].

A l'origine, le Kitáb-i-Aqdas prescrivait une prière de 9 rak'ahs à réciter "matin, midi et soir"[15][16], mais le texte a disparu et fut remplacé par les trois prières "obligatoires" actuelles : la "courte", la "moyenne" et la "longue"[17]. Le croyant est libre de choisir l'une de ces trois prières, selon les conditions extérieures et la disponibilité intérieure. Quelle que soit celle qui est récitée, elle est suffisante pour accomplir ce devoir rituel[18]

  • la "courte" se récite debout à "midi" (entre le zénith et le coucher du soleil)[19] : "Je suis témoin, Ô mon Dieu, que Tu m'as créé pour Te connaître et T'adorer. J'atteste, en cet instant, mon impuissance et Ton pouvoir, ma pauvreté et Ta richesse. Il n'y a pas d'autre Dieu que Toi, le Secours dans le péril, Celui qui subsiste par Lui-même."
  • la "moyenne" se récite "matin" (du lever du soleil à son zénith), "midi" (du zénith au coucher du soleil) et "soir" (du coucher du soleil à 2 heures après celui-ci)[20]. Les ablutions rituelles s'accompagnent de la récitation d'une formule et la récitation de la prière est accompagnée de gestes.
  • la "longue" se récite une fois en 24 heures, au moment "où l'on se trouve dans un étaut d'humilité et d'adoration ardente"[21]. Elle est accompagnée de gestes et de génuflexions dont `Abdu'l-Bahá affirment que "dans chaque parole et dans chaque geste de la prière obligatoire il y a des allusions, des mystères et une sagesse que l'homme n'est pas en mesure de comprendre et que les mots et les parchemins ne peuvent point contenir"[22].

Il existe certains cas d'exemption, et non pas d'interdiction, de ces prières "obligatoires"  :

  • les enfants de moins de 15 ans.
  • les personnes âgées de plus de 70 ans[23].
  • les malades[24].
  • les femmes en cours de menstruations. Elle peuvent à la place répéter 95 fois le verset "Glorifié soit Dieu, le Seigneur de splendeur et de beauté" après leurs ablutions[25].

En cas de prière "manquée" à cause à l'insécurité, comme au cours d'un voyage, chaque prière "manquée" doit être compensée par la répétition de certains versets et gestes[26]. Pour chaque prière obligatoire non dite, la personne doit se prosterner en disant "Glorifié soit Dieu, le Seigneur de puissance et de majesté, de grâce et de bonté" (ou s'il en est incapable seulement :"Glorifié soit Dieu"), puis s'assoir en tailleur et répéter 18 fois la formule "Glorifié soit Dieu, le Seigneur des royaumes de la terre et du ciel".

Prière des morts

Bahá'u'lláh ordonne de réciter une prière spéciale[27] lors des funérailles des baha’is adultes[28]. C’est la seule prière devant être dite en congrégation[29]. Elle doit être récitée par un baha’i, qui n’a aucun statut particulier, alors que l’assistance se tient debout et en silence[30], mais il n’est pas demandé de se tourner vers la Qiblih[31].

Les baha'is pensent que l'âme humaine continue de vivre dans d'autres mondes de Dieu après sa séparation d'avec le corps et qu'il persiste une influence spirituelle réciproque entre les êtres humains vivant dans ce monde ou dans l'autre. Il est donc nécessaire que les uns prient pour les autres :

"Comme l'esprit de l'homme, après avoir dépouillé cette forme matérielle, a une vie éternelle et que, naturellement, une chose existante est aussi capable de progrès, donc l'homme après sa mort, peut espérer le progrès, le pardon, la faveur, la bienfaisance, la grâce, puisque l'existence est capable de progrès... Il est même possible que ceux qui sont morts dans le péché et l'impiété changent de condition et qu'ils deviennent l'objet de la rémission. Cela est le fait de la bonté divine - non de la justice - car la bonté donne sans tenir compte du mérite, au contraire de la justice. Et comme nous avons ici-bas le pouvoir de prier pour ces âmes, de même dans l'autre monde - qui est le Royaume de Dieu - nous posséderons ce même pouvoir. Est-ce que, dans l'autre monde, tous les être ne sont pas des créatures de Dieu ? Donc, dans l'autre monde aussi ils peuvent progresser. De même que, dans ce monde, par leurs supplications, ils peuvent obtenir des lumières, de même dans l'autre ils peuvent demander la rémission. Ainsi, comme les individus peuvent dans ce monde, soit à l'aide des supplications et de l'humilité, soit à l'aide des prières des êtres pieux, parvenir au progrès, de même aussi après la mort, par leurs propres prières et leurs supplications, ils peuvent progresser, et surtout lorsque ceux qui intercèdent pour eux sont les saintes Manifestations de Dieu."[32]

Une des dispositions spéciale à la Foi baha'ie, c'est que les enfants ont le pouvoir d'intercéder pour leurs parents. C'est une faveur accordée par le Báb dans le Bayán persan[33] et confirmée ensuite par Bahá'u'lláh[34].

Autres prières

Il existe de multiples autres prières révélées par le Báb (1819-1850), Bahá'u'lláh ou `Abdu'l-Bahá (1844-1921), pour diverses circonstances de la vie (bénédiction, louange, protection, santé, famille, mariage, jeûne, étude, travail, voyage, réunions, fêtes baha’ies, etc…), et il n'y a pas de règles particulières fixées pour leur récitation. Les baha’is attribuent à certaines d’entre elles des pouvoirs particuliers, comme la "Tablette d’ Aḥmad", la "Tablette du Feu", ou la "Grande Prière de Guérison".

Le "Gardien" Shoghi Effendi (1897-1957) écrit que "la simplicité qui caractérise l'offrande des prières bahá'íes, qu'elles soient obligatoires ou autres, devrait être maintenue. La rigidité et les rites devraient être strictement évités"[35]. Il est cependant interdit aux baha'is de "marmoner" des prières en public[36] et ils doivent prier chez eux, seul ou en groupe, ou dans des lieux prévus à cet effet comme les "Maison d'adoration" baha'ies (Mashriqu’l-Adhkár), que Bahá'u'lláh demande de construire dans chaque pays[37] pour que l'on puisse y chanter à l'aube les louanges de Dieu[38].

Les baha'is pensent que la prière est un processus qui déclenche des forces naturelles d'un ordre supérieur, comme l'aimant attire le fer malgré la force de gravitation, ou comme un force infime appliquée au gouvernail d'un immense paquebot peut en diriger la course, et appliquée à l'ouverture des portes d'une écluse peut libérer et régler l'écoulement d'immenses masses d'eau. Selon le point de vue bahá'í, le pouvoir qui exauce les prières est l'inépuisable puissance de Dieu. Le rôle du suppliant se borne à mettre en oeuvre la petite force nécessaire pour en libérer le flot ou pour orienter le cours de la grâce divine, toujours prête à combler ceux qui ont appris à y faire appel[39]. Dans leurs prières, les baha'is s'adressent à Dieu directement ou par l'intermédiaire d'un intercesseur, comme par exemple une des "Manifestations de Dieu". Le "Gardien Shoghi Effendi écrit :

"Lorsque nous prions, il serait préférable de diriger nos pensées vers la Manifestation puisqu'elle continue dans l'autre monde d'être notre intermédiaire avec le Tout-Puissant. Nous pouvons cependant prier Dieu directement.[40] Vous avez demandé si nos prières vont au-delà de Bahá'u'lláh : tout dépend si nous le prions directement ou si nous prions Dieu par son intermédiaire. Nous pouvons faire les deux, et nous pouvons aussi prier directement Dieu; mais nos prières sont certainement plus efficaces et plus lumineuses si elles Lui sont adressées par l'intermédiaire de sa manifestation, Bahá'u'lláh."[41]

Dieu répond TOUJOURS aux prières, mais il peut arriver qu'il réponde "NON", car l'Omniscient et le Très-Sage peut estimer qu'il existe une solution différente et meilleure pour le suppliant.

Le travail est aussi un prière

Dans la Foi baha’ie, le travail est élevé au rang d’adoration de Dieu et celui qui fait de son mieux pour améliorer le sort de l’humanité est en fait en train de prier :

"ô peuple de Bahá ! Il incombe à chacun de vous de se livrer à une occupation telle que l'artisanat, le commerce ou toute autre activité. Nous avons élevé votre engagement dans un tel travail au rang de l'adoration du seul vrai Dieu. Réfléchissez, ô peuple, sur la grâce et les bénédictions de votre Seigneur, et remerciez-le soir et matin. Ne gaspillez pas vos heures dans l'oisiveté et la paresse, mais consacrez-vous à ce qui vous profitera, à vous et aux autres. C'est ce qui fut décrété dans cette Tablette à l'horizon de laquelle brilla l'étoile matinale de la sagesse et de la parole. Aux yeux de Dieu, les hommes les plus méprisables sont ceux qui s'asseyent et mendient. Tenez-vous fermement à la corde des ressources et placez votre confiance en Dieu, Celui qui pourvoit à tout."[42]

"Dans la cause bahá'íe, les arts, les sciences et tous les métiers sont considérés comme un acte d'adoration. L'homme qui fabrique une feuille de papier du mieux qu'il peut, consciencieusement, en consacrant toutes ses forces à la parfaire, loue Dieu. Bref, tout effort où l'homme met tout son coeur est un acte d'adoration, s'il est inspiré par des motifs élevés et par la volonté de servir l'humanité. Servir le genre humain et pourvoir aux besoins des peuples, c'est adorer Dieu. Servir, c'est prier. Un médecin qui soigne les malades patiemment, tendrement, sans préjugé, conscient de la solidarité de la race humaine, loue Dieu."[43]

Bibliographie

  • "Sélections des écrits du Báb", compilé par le département de la recherche de la Maison Universelle de Justice et édité par la Maison d’édition baha’ie (Bruxelles, 1984, 1ère édition), D/1547/1984/1
  • Kitáb-i-Aqdas ("Le Livre le Plus Saint"), écrit par Bahá'u'lláh (en arabe vers 1873), édité par la Maison d'éditions baha'ies (Bruxelles 1996), ISBN 2872030387
  • "Sélection des écrits de ‘Abdu’l-Bahá", compilée par le département de la recherche de la Maison Universelle de Justice, éditée par la Maison d’éditions baha’ies (Bruxelles, 1983, 1ère édition), D/1547/1983/1
  • "Les Tablettes de Bahá'u'lláh" (révélées après le Kitáb-i-Aqdas), écrite en arabe par Bahá'u'lláh, édité par la Maison d'éditions baha'ies (Bruxelles 1994), ISBN 2872030328
  • "Florilège d’écrits de Bahá'u'lláh", Maison d’éditions baha’ies (Bruxelles, 2006), ISBN 2872030735
  • "Leçons de Saint-Jean-d’Acre", entretiens de pélerins avec ‘Abdu’l-Bahá, recueillis par Laura Clifford Barney et traduits du persan par Hippolyte Dreyfus, édité par les Presses Universitaires de France (P.U.F. Paris, 5° édition corrigée, 1982), ISBN 213037588x
  • Compilation des écrits baha'is sur "L’importance de la Prière, de la Méditation et de l’Attitude pieuse", réalisée par le département de la recherche de la Maison Universelle de Justice, et éditée par la Maison d’éditions baha’ies (Bruxelles, 1989), ISBN 2872030131
  • Compilation des écrits baha'is sur "L’importance de la Prière prescrite et du Jeûne", réalisée par le département de la recherche de la Maison Universelle de Justice.
  • "Prières baha’ies", révélées par le Báb, Bahá'u'lláh ou ‘Abdu’l-Baha, Publications Baha'i Canada (2001), ISBN 0888671172
  • "Grande Prière de Guérison" (Munáját-i-Shafá), bilingue anglais/arabe, éditée par Bahá’í Verlag, ISBN 3870379043
  • "Bahá'u'lláh et l’ère nouvelle", écrit par J.E. Esslemont et édité par la Maison d’éditions baha’ies (Bruxelles, 6° édition révisée, 1990), ISBN 2872300220

Notes

  1. ↑ Citation de `Abdu'l-Bahá dans la compilation des écrits baha'is intitulée "Importance de la Prière prescrite et du Jeûne", chapitre 2, paragraphe 12
  2. ↑ "Bahá'u'lláh et l’ère nouvelle", chapitre 6, consacré à la prière.
  3. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 12
  4. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 10 et question 20
  5. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 12 et 108
  6. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 10, questions 64, 83 et 103, note 5
  7. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 10, note 15
  8. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 76
  9. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 18
  10. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 6 et 137, question 14
  11. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 18, questions 18, 62, 66, 77 et 86, note 34
  12. ↑ Kitáb-i-Aqdas, versets 74 et 106, question 91, note 105
  13. ↑ Kitáb-i-Aqdas, question 18 et note 34
  14. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 10, question 51, notes 16 et 34
  15. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 6
  16. ↑ Kitáb-i-Aqdas, note 6 : un rak'ah consiste en la récitation de versets spécifiquement révélés, accompagnés par une série de génuflexions et autres mouvements prescrits. Selon la réponse de Bahá'u'lláh à la question 63, le texte de cette prière fut révélé séparément et caché par précaution avant la révélation des 3 prières actuelles. Selon la note 9, le manuscrit fut volé par l'Archibriseur de l'Alliance Muḥammad ‘Alí et son contenu ne nous est pas connu
  17. ↑ Voir les textes aux pages 93 à 103 du Kitáb-i-Aqdas
  18. ↑ Kitáb-i-Aqdas, question 65
  19. ↑ Kitáb-i-Aqdas, questions 81 et 86, note 5
  20. ↑ Kitáb-i-Aqdas, question 83 et 86, note 5
  21. ↑ Kitáb-i-Aqdas, question 82
  22. ↑ Citation de `Abdu'l-Bahá au paragraphe 27 de la compilation des écrits baha'is intitulée "Importance de la prière, de la méditation et de l'attitude pieuse"
  23. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 10, question 74, note 14
  24. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 10, question 93
  25. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 13, notes 20 et 34
  26. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 14, questions 21/58/59/60/61, note 21
  27. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 8, notes 10-11
  28. ↑ Kitáb-i-Aqdas, question 70
  29. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 12, note 19
  30. ↑ Kitáb-i-Aqdas, note 19
  31. ↑ Kitáb-i-Aqdas question 85
  32. ↑ "Les leçons de Saint-Jean-d'Acre, chapitre LXII, pp.236-237
  33. ↑ Bayán persan, Váḥid 8, Báb 16, cité à la page 87 des "Sélections des écrits du Báb"
  34. ↑ "Neuvième bonne nouvelle" de Bishárát, page 24 des "Tablettes de Bahá'u'lláh" révélées après le Kitáb-i-Aqdas
  35. ↑ Extrait d'une lettre datée du 30 octobre 1936 adressée par le Gardien à un baha'i, cité au paragraphe 36 de la compilation intitulée "Importance de la prière, de la médiation et de l'attitude pieuse"
  36. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 108 et note 135
  37. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 31 et note 53
  38. ↑ Kitáb-i-Aqdas, versets 31, 115 et 150, question 15, note 142
  39. ↑ "Bahá'u'lláh et l’ère nouvelle", chapitre 6, paragraphe 8
  40. ↑ Extrait d'une lettre du 27 avril 1937 adressée à l'Assemblée Spirituelle Nationale des Indes et de la Birmanie, et citée au paragraphe 43 de la compilation intitulée "Importance de la prière, de la méditation et de l'attitude pieuse"
  41. ↑ Extrait d'une lettre datée du 14 octobre 1937 à un baha'i, et citée au paragraphe 44 de la compilation intitulée "Importance de la prière, de la méditation et de l'attitude pieuse"
  42. ↑ Kitáb-i-Aqdas, verset 33
  43. ↑ Citation de ‘Abdu’l-Bahá dans "Bahá'u'lláh et l’ère nouvelle", chapitre 5, paragraphe 6
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La dernière modification de cette page a été faite le 18 octobre 2023 à 02:21.
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